🍇 Notes de dégustation
Vin charentais rosé élégant et fruité.
🍽 Accord mets et vin
Parfait pour les grillades et salades.
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Vin charentais rosé élégant et fruité.
Parfait pour les grillades et salades.
Robe pourpre profonde. Le nez dévoile un joli bouquet sur des notes de fruits rouges et de fleurs sur une finale un peu sauvage. La bouche est très élégante, équilibrée mêlant une légère acidité avec de délicats tanins.
A déguster avec une viande rouge grillée ou confite, des fromages affinés.
Servir à 16-18°C
Dans toutes les classes à l’école, il y a toujours un élève qui est bien coiffé, la raie sur le côté, habillé très proprement. C’est le premier de la classe, un peu chahuté par ses camarades mais en même temps respecté, parce qu’il a des bonnes notes. Le 1er cru Pézerolles c’est sa personnalité, un vin consensuel qui va beaucoup plaire. Une belle longueur, une jolie robe, une riche palette d’arômes, toutes les caractéristiques d’un grand vin.
"Parfum très attractif. Fin, léger à moyennement corsé avec un parfum qui s'infuse dans tout le palais, en grande partie avec des arômes de cerises, mais également avec des touches légères de framboises et de fraises fraîches" Jasper Morris - Inside Burgundy
Servir avec des viandes grillées ou fromages affinés
Chassagne-Montrachet est reconnu pour ses vins blancs mais il ne faut jamais oublier l'histoire. Pendant de nombreuses années, l'appellation Chassagne a produit des vins rouges. Cette cuvée offre ce que j'apprécie particulièrement en Bourgogne. La couleur est subtile, les tannins sont délicats, et le bouquet est intense et complexe. En termes de style, je le rapproche volontiers du Pommard Clos des Poutures. Comme la notoriété des Chassagne rouges n'est pas celle des blancs, c'est un excellent rapport qualité/prix du domaine que je vous recommande de mettre dans votre cave.
Vin rouge profond à la robe grenat et aux reflets violets. Explosion de fruits rouges au nez. La bouche attaque tout en rondeur avec de jolis tanins d’une belle et soyeuse consistance. Superbe puissance aromatique.
Du poulet rôti au plateau de fromage, il est le compagnon idéal de tous vos repas.
Servir entre 14 et 16°C.
D'un grenat franc, ce vin rouge, issu de Syrah majoritaire, livre des parfums de fruits des bois et de garrigue (thym et laurier), nuancés de notes de sous-bois et de cuir. Ses tanins encore serrés en dépit d'un élevage de dix-huit mois en barrique lui donnent de la mâche dans un univers fruité, mentholé, fumé et réglissé. De la puissance et de la fraîcheur.
Servir avec des plats en sauces, du gibier.
C’est la Syrah patiemment élevée qui signe cette cuvée complexe, riche et soyeuse en bouche. Un vin puissant et doux à la fois. Élevage de 18 mois en barriques.
Cette saveur fruitée est la cause de cette magnifique Syrah de Provence, pour finir sur une petite touche épicée afin de relever les sensations avec des tanins parfaitement intégrés.
A déguster à l'apéritif, avec des tapas ou une grillade.
Grand fruit, des tanins parfaitement intégrés, une bouteille de Les Amis ne reste jamais longtemps sur la table !
Un style bien à lui de fraîcheur, de gourmandise et de saveurs. Aux arômes intenses dans trois registres complémentaires floral (iris, lilas, fleurs de garrigue), fruité (rhubarbe, groseille à maquereau, melon rouge, carambole, kiwi) et embruns marins, salicorne.
Servir avec des grillades, de la charcuterie, un plat de viande mijotée ou un plat sucré-salé.
Croquant en bouche, la pulpe du fruit et la fraîcheur de la rosée du matin sont toujours là. À boire sans déguster, en chantant “ Riquita ” jolie fleur de java …
Robe brillante aux reflets argentés. Très joli nez frais et élégant avec des notes de verveines, badiane, citronnelle et gingembre confit. Beau déroulement entre fraîcheur et densité.
Avec des poulpes à la crème de pois chiches de Carlencas, bries de Meaux et pomme verte. Pour les gourmands !
Ah la roussanne ! C’est le cépage préféré d’Anaïs, qui roussit à maturité. Le Chant des Dolia blanc vous propose un voyage en terre languedocienne, au bord de l’étang de Thau, cépage méconnu et souvent assemblé, il se dévoile ici… Après plusieurs années d’essais, le voici de retour en grandes pompes sous sa plus belle expression. Les dolia l’ont révélé…
Une explosion aromatique de fruits très noirs, très mûrs. On sent la réglisse, la garrigue, des notes de girofles... puissant et long en bouche, grande complexité aromatique.
À déguster entre amateurs de Carignan ou à faire découvrir à vos amis autour de plats de gibier en sauce.
Servir à 15-18°C, carafer avant de le déguster afin de laisser les arômes s’exprimer pleinement.
Issue de notre parcelle de Carignan âgée de plus de 110 ans plantée sur des coteaux de schistes orientés plein Sud, Carignan 1910 est une cuvée rare et d’exception produite en faible quantité (2000 bouteilles) et uniquement lorsque les conditions optimales sont réunies. D’une grande maturité dès sa jeunesse, cette cuvée symbolise la quintessence aromatique du Carignan, magnifique cépage emblématique du Languedoc.
Des arômes fruités de baies rouges et noires bien mûres. Ce cépage oublié offre un joli volume, du gras, des épices et une belle rondeur en bouche, il délivre une très belle finale longue.
A déguster avec de la charcuterie, des grillades ou un canard à l'orange.
Servir à 15°C
Ce cépage oublié offre un joli volume, du gras, des épices et une belle rondeur en bouche.
Note de fruits noirs, de tapenade et une pointe de moka en finale. La bouche est fraîche avec un joli relief.
Avec une côte de bœuf accompagnée de vraies frites belges !
Robe sombre aux reflets grenat. Vin coloré aux reflets pourpres. Nez ouvert sur le tabac, les fruits noirs, le cacao. La bouche est pleine, chocolatée sur les épices. La finale est confiturée sur la mûre et le thym avec une très belle longueur. Un vin de longue garde que l’on peut d’ores et déjà apprécier.
A déguster avec une côte de bœuf, tout simplement. Il se mariera également très bien sur du petit gibier à plume.
Grandgousier, père de Gargantua, est le personnage rabelaisien par excellence. Il reflète l’appétit de tout, le bien et le bon vivre... C’est en 2004, quelques siècles plus tard, que la cuvée du même nom verra le jour au Mas Thélème.