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Nez complexe, addictif, hypnotique... Sur des notes d'abricot, de mangue, d'herbes fraîches, de miel et de jasmin. En bouche la puissance aromatique est équilibrée par une grande pureté, un vin orange de très belle facture.
Servir avec des plats épicés, de la cuisine marocaine.
Robe jaune pâle aux reflets verts. Au nez, jolie complexité avec des arômes d’agrumes très agréables, ainsi que des notes de pommes et de fleurs blanches. Belle minéralité. On a un joli volume de bouche équilibré par des notes agrumes qui donnent cette fraîcheur.
Idéal pour accompagner une bisque de crevettes, des asperges vertes au parmesan ou encore des aiguillettes de poulet rôties.
Très légèrement en retrait de la côte, les vignes sont dans une combe au milieu des arbres. Ces arbres permettent de conserver un microclimat particulièrement intéressant lors des millésimes solaires. Ce microclimat va demander un peu plus de patience pour atteindre la maturité. Cela peut entraîner des notes d'agrumes très agréables si l'élevage est bien conduit. Les vins de l'appellation Beaune sont largement sous-estimés aussi bien en blanc qu'en rouge. C'est bien dommage. Je vous invite à essayer les terroirs de Beaune et pourquoi pas les faire déguster à l'aveugle afin de surprendre vos amis.
Un crémant frais et subtil dans un premier temps dont la fin de bouche étonne ensuite, révélant des notes de beurre frais et de noisette.
Servir à l'apéritif, avec des entremets salés et sucrés.
Un magnifique crémant de Bourgogne vinifié par un grand vigneron. 100% Chardonnay, un cépage que Armand Heitz maîtrise à la perfection. Avec sa finesse et délicatesse, il n'a pas à rougir devant ses voisins champenois ! - Louis
Le champagne est un produit que j'apprécie goûter régulièrement. Comme pour le vin, je l'apprécie quand il est fin, élégant et complexe. Avec les mêmes cépages et des terroirs proches, je me suis dit qu'il n'y avait aucune raison pour que le crémant de Bourgogne ne puisse pas être aussi bon que le champagne. Le travail que je fais sur mes vignes ou sur les vins de base est le même que sur les plus belles cuvées de grandes maisons champenoises. Enherbement, passage en fut de chêne, faible dosage, très peu de sulfites. La différence repose sur le prestige et l'histoire dont bénéficient les grandes maisons de champagne par rapport au crémant.
Nez sur des notes de citron et de pain grillé. Crémeux, beurré et gourmand en bouche. Bien structuré, assez dense, texture riche. Belle minéralité avec de jolies notes toastées en finale
A déguster avec du foie gras, des langoustes, des oursins, de fromage bleu.
Ce climat produit une cuvée fidèle de l'image que l'on a de Meursault. De la fraîcheur, de la pureté mais aussi du gras pour l'intensité. Un joli terroir avec la signature du domaine. J'ai repris cette parcelle en 2015 et tous les ans, malgré des conditions climatiques très variables, la cuvée est toujours très harmonieuse.
En bouche, belle équilibre entre gras et tension avec des notes briochées, beurre, pain grillé et agrumes. La minéralité apporte de la fraîcheur et de la longueur. Très bel équilibre.
Servir avec du poisson fin, de la volaille.
Au cours de l'histoire, le village de Meursault n'a jamais souhaité revendiquer un ou plusieurs grands crus. C'est bien dommage car le potentiel agronomique de ses 1er crus n'a rien à envier au prestige des grands crus de la colline du Montrachet ou de Corton. Si Meursault devait avoir un grand cru, ce serait incontestablement les Perrières. C'est un vin puissant, intense, un terroir riche et imposant. Situé à mi coteaux comme tous les meilleurs crus en Bourgogne, il bénéficie des meilleures conditions agronomiques.
Une attaque fruitée suivie d'une belle acidité.
A servir à l'apéro, avec un poisson grillé, ou un plateau de fromages.
Parfois, il nous arrive de perdre notre lucidité… Mais parfois, seulement.
Fruité et minéral aux arômes de pêches blanches et mandarines. En bouche, pur et gourmand avec une belle persistance citronnée. Les 3-4 grammes de sucre résiduel restant dans la bouteille permettent à ce vin d’être à la fois vif et gourmand.
A déguster à l'apéritif, avec des plats sucrés-salés, des fruits de mer
Le nez évoque agrumes, ananas, tilleul avec une touche ligneuse et fumée. La bouche est ronde d’une matière généreuse et suave ou des légers tannins et de la puissance apporte au fruit relief et épicée. Le miel envahi la rétro-olfaction. En finale pommes, ananas mûrs et notes végétales sont étayés par des accents minéraux frais et une touche d’amertume.
A déguster des huîtres, une épaule d'agneau aux herbes, une blanquette de veau, une andouillette aux truffes, des vollailles et currys.
Belle robe paille soutenue à reflets or. Le nez est riche, complexe, et très expressif aux notes de fruits tropicaux mûrs, ananas, écorce de citron, et de fruits blancs : coing, amande fraîche avec une évolution épicée, safran, miel, tabac blond et un léger fumé. La bouche est très homogène, riche et très ample, marquée par une élégante texture, une fraîcheur lumineuse et subtilement beurrée avec une finale très charnue, tendue, longue et sur une saveur d’écorce de pomelo.
Ce Châteauneuf du Pape d’exception accompagnera les grandes recettes de poissons et crustacés : nage de Saint Jacques aux langoustines, filets de rougets en papillote, quenelles de brochets, mais aussi les viandes blanches les plus subtiles, une terrine de foie gras aux truffes, une poularde sauce Nantua et enfin il sublimera les fromages à pâte cuite ou encore le Saint Nectaire.
Servir à 16-17°C.
D’une délicate robe paille, cet assemblage de Grenache blanc, Roussanne et Clairette exprime avec une grande élégance ses arômes floraux et de fruit blanc et jaune, de zeste d’agrume, de poire pochée, de mirabelle, de fenouil, acacia, tilleul, nèfle, abricot, ainsi que des notes de pain grillé et d’amande soulignées par une subtile minéralité et une note de poivre blanc. L’attaque en bouche est ronde, charnue, suivie d’une agréable fraîcheur pour une finale ample, chaleureuse et longue.
Ce remarquable Châteauneuf blanc est à déguster à l’apéritif et s’appréciera tout au long d’un repas : noix de St-Jacques au safran, volaille de Bresse aux morilles, velouté de lentilles au céleri et citron, Pélardon de chèvre crémeux ou sec.
Servir à 11-13°C.
Tension, équilibre et générosité. Une cuvée à la personnalité affirmée, avec une attaque ample et une deuxième partie de bouche impressionnante de tension minérale. Le vin est porté par une densité acidulée, la finale est très longue.
Accord idéal sur une simple volaille au four et ses pommes de terre rôties ou un rouget sauce citron, purée de carottes.
Servir à 13°C.
Une robe d'or, intense et éclatante. Au nez, des arômes d'écorce d'orange sur une trame de fleurs blanches. Miel et caramel prennent subtilement le relais à l'aération. Attaque ample, une bouche généreuse et large évoluant sur une structure minérale aux notes de bergamote, une finale vive et fraîche, soutenue par une belle amertume.
A déguster avec des coquilles St Jacques, des crustacés ou un poisson blanc.
