Plongez au cœur des vignobles français avec notre sélection de vins propres ! De la Bourgogne à Bordeaux en passant par la Vallée de la Loire, de la Champagne au Languedoc, en passant par la Vallée du Rhône, explorez les nuances et les saveurs uniques de chaque région, de chaque terroir.
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Nez frais et élégant. Vous découvrirez en bouche de la minéralité et de jolies notes grillées. Un vin bien équilibré entre la fraîcheur du fruit et la structure liée à l’élevage en vieux fûts.
Pour l'apéritif, une viande blanche ou des pâtes à la carbonara.
Un Gamay énergique et fin, de jolies notes de fruits rouges tout en fraîcheur. Belle longueur.
Pour l’apéritif (charcuteries, salades, quiches), accompagner les viandes (blanches, abats, grillées) ou encore les plats cuisinés (légumes mijotés, volaille à la crème, raclette).
Les Blémonts est un Chénas parcellaire de Raphaël Saint-Cyr qui provient de vieilles vignes sur sol granitique. Le nez exprime l'Iris, la violette et la pivoine et un côté vanillé lié à l'élevage. En bouche il se révèle riche et minéral avec des tanins soyeux sur des notes fruitées et épicées. Un grand Beaujolais à carafer sur sa jeunesse.
Le compagnon idéal d'une tête de veau sauce gribiche.
Robe jaune pâle aux reflets verts. Au nez, jolie complexité avec des arômes d’agrumes très agréables, ainsi que des notes de pommes et de fleurs blanches. Belle minéralité. On a un joli volume de bouche équilibré par des notes agrumes qui donnent cette fraîcheur.
Idéal pour accompagner une bisque de crevettes, des asperges vertes au parmesan ou encore des aiguillettes de poulet rôties.
Très légèrement en retrait de la côte, les vignes sont dans une combe au milieu des arbres. Ces arbres permettent de conserver un microclimat particulièrement intéressant lors des millésimes solaires. Ce microclimat va demander un peu plus de patience pour atteindre la maturité. Cela peut entraîner des notes d'agrumes très agréables si l'élevage est bien conduit. Les vins de l'appellation Beaune sont largement sous-estimés aussi bien en blanc qu'en rouge. C'est bien dommage. Je vous invite à essayer les terroirs de Beaune et pourquoi pas les faire déguster à l'aveugle afin de surprendre vos amis.
En bouche, belle équilibre entre gras et tension avec des notes briochées, beurre, pain grillé et agrumes. La minéralité apporte de la fraîcheur et de la longueur. Très bel équilibre.
Servir avec du poisson fin, de la volaille.
Au cours de l'histoire, le village de Meursault n'a jamais souhaité revendiquer un ou plusieurs grands crus. C'est bien dommage car le potentiel agronomique de ses 1er crus n'a rien à envier au prestige des grands crus de la colline du Montrachet ou de Corton. Si Meursault devait avoir un grand cru, ce serait incontestablement les Perrières. C'est un vin puissant, intense, un terroir riche et imposant. Situé à mi coteaux comme tous les meilleurs crus en Bourgogne, il bénéficie des meilleures conditions agronomiques.
"Parfum très attractif. Fin, léger à moyennement corsé avec un parfum qui s'infuse dans tout le palais, en grande partie avec des arômes de cerises, mais également avec des touches légères de framboises et de fraises fraîches" Jasper Morris - Inside Burgundy
Servir avec des viandes grillées ou fromages affinés
Chassagne-Montrachet est reconnu pour ses vins blancs mais il ne faut jamais oublier l'histoire. Pendant de nombreuses années, l'appellation Chassagne a produit des vins rouges. Cette cuvée offre ce que j'apprécie particulièrement en Bourgogne. La couleur est subtile, les tannins sont délicats, et le bouquet est intense et complexe. En termes de style, je le rapproche volontiers du Pommard Clos des Poutures. Comme la notoriété des Chassagne rouges n'est pas celle des blancs, c'est un excellent rapport qualité/prix du domaine que je vous recommande de mettre dans votre cave.
Sa robe grenat et vive, son nez au fruité-épicé intense, aux parfums de cerises bien mûres, légèrement kirchée et réglissée, de garrigue et de poivre blanc. Sa bouche friande et croquante de fruits rouges. Finale gourmande, ronde et rafraîchissante sur tanins soutenus mais soyeux et fondus.
A déguster avec une chiffonnade de jambon de Parme, des petits légumes farcis ou une grillade de poulet ou de porc …
Servir à 13-14°C.
Belle robe paille soutenue à reflets or. Le nez est riche, complexe, et très expressif aux notes de fruits tropicaux mûrs, ananas, écorce de citron, et de fruits blancs : coing, amande fraîche avec une évolution épicée, safran, miel, tabac blond et un léger fumé. La bouche est très homogène, riche et très ample, marquée par une élégante texture, une fraîcheur lumineuse et subtilement beurrée avec une finale très charnue, tendue, longue et sur une saveur d’écorce de pomelo.
Ce Châteauneuf du Pape d’exception accompagnera les grandes recettes de poissons et crustacés : nage de Saint Jacques aux langoustines, filets de rougets en papillote, quenelles de brochets, mais aussi les viandes blanches les plus subtiles, une terrine de foie gras aux truffes, une poularde sauce Nantua et enfin il sublimera les fromages à pâte cuite ou encore le Saint Nectaire.
Servir à 16-17°C.
D’une délicate robe paille, cet assemblage de Grenache blanc, Roussanne et Clairette exprime avec une grande élégance ses arômes floraux et de fruit blanc et jaune, de zeste d’agrume, de poire pochée, de mirabelle, de fenouil, acacia, tilleul, nèfle, abricot, ainsi que des notes de pain grillé et d’amande soulignées par une subtile minéralité et une note de poivre blanc. L’attaque en bouche est ronde, charnue, suivie d’une agréable fraîcheur pour une finale ample, chaleureuse et longue.
Ce remarquable Châteauneuf blanc est à déguster à l’apéritif et s’appréciera tout au long d’un repas : noix de St-Jacques au safran, volaille de Bresse aux morilles, velouté de lentilles au céleri et citron, Pélardon de chèvre crémeux ou sec.
Servir à 11-13°C.
Tension, équilibre et générosité. Une cuvée à la personnalité affirmée, avec une attaque ample et une deuxième partie de bouche impressionnante de tension minérale. Le vin est porté par une densité acidulée, la finale est très longue.
Accord idéal sur une simple volaille au four et ses pommes de terre rôties ou un rouget sauce citron, purée de carottes.
Servir à 13°C.
Ses arômes expriment les petits fruits rouges et noirs (cerise, cassis) et des épices. Une bouche bien équilibrée, d'un bon volume, aux tanins affinés, dynamisée par une finale fraîche et persistante.
Velouté et assez ferme, les tanins de l'appellation Monthélie doivent s’accompagner de viandes assez rondes en bouche : des volailles rôties, l’agneau rôti, le lapin. Les ris de veau, le foie ou les andouillettes grillées sauront apprécier la fermeté du Monthélie. Pour le fromage, le brillat-savarin, le brie, le reblochon.
En limite de Volnay, « Pierrefitte » ou « Pièce Fitte » rappelle la présence de Dolmens ou Menhirs, en haut de coteau à près de 325 mètres d’altitude. Ce vin de garde ne s’affirme qu’après quelques années de vieillissement et exprime alors des arômes de fruits noirs et d’épices avec une structure tannique soyeuse. Garde de 5 à 10 ans.
Servir avec des viandes grillées ou fromages affinés
La colline de Corton abrite les seuls grands crus rouges de la côte de Beaune. C'est bien dommage que Pommard n'ait pas voulu promouvoir les Rugiens et Volnay les Taillepieds. Le terme « Chaumes » a la même origine que « Charmes » : il indique qu'il s'agit d'un ancien terrain qui était en friche avant de devenir un vignoble. Ces noms de lieux-dits feraient bien de nous inspirer pour redessiner nos cultures.
