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Un nez très expressif, belle aromatique, chocolat noir, toasté. Un joli équilibre avec une belle fraîcheur en finale.
A déguster avec des viandes rouges, des viandes de caractères (gibier).
Un concentré de fruits rouges avec une délicate note florale. Très charmeur au nez, un vin léger et fruité.
A boire entre copains.
Servir à 12-14°C
Vin à la robe rubis de bonne intensité avec des nuances violines de vin très jeunes. Le dégradé est plus tendre sur une teinte pourpre. Le nez est fin, dominé par une trame aromatiques aux arômes de fruits rouges et noirs sauvages avec à l'aération une note de fumé minéral qui accentue le côté terroir. En bouche, ce Beaujolais offre un vin souple, juteux et fruité : myrtille, fraise des bois, mais aussi violette. Les tanins sont croquants avec une impression de croquer du raisin rouge frais.
À déguster avec une viandes rouge grillée ou en tartare, volaille grillée, volaille en sauce, de la charcuterie ou des pâtes à la sauce tomate.
Servir à 16-18°C
Un jolie fruité avec des notes de roses. C'est rond en bouche, les tanins sont soyeux et l'ensemble est parfaitement équilibré. Une finale aux notes poivrées sur la fraîcheur.
A déguster un foie de veau poêlé, du thon à la coriandre, des blancs de volaille au paprika.
Servir à 16°C
Un joli fruité, des tanins soyeux, du croquant, du gourmand et une belle finale poivrée.
Vin charnu et chaleureux avec des notes intenses de figues sèches, de pruneaux, de liqueur de myrtilles. En finale, arômes de torréfaction, de chocolat avec une pointe de cerises à l’alcool. Tanins présents mais fins. Long en bouche.
A déguster avec des desserts à base de chocolat noir, des fromages à pâte persillée ou vieux fromages de chèvre, du foie gras poêlé ou encore des magrets de canard aux figues fraîches.
C’est une cuvée plus personnelle à mi-chemin entre un rimage et un traditionnel. Ce Banyuls est une nouvelle interprétation où l’élevage prend là encore toute son importance. Il n’est élaboré que lorsque l’année s’y prête.
