Plongez au cœur des vignobles français avec notre sélection de vins propres ! De la Bourgogne à Bordeaux en passant par la Vallée de la Loire, de la Champagne au Languedoc, en passant par la Vallée du Rhône, explorez les nuances et les saveurs uniques de chaque région, de chaque terroir.
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🍽 Accord mets et vin
Pour le chocolat, le foie gras ou seule en gourmandise.
Servir à 10-12°C
🧑🌾 Les mots d’Isabelle Mangeart
Petite surprise, douceur issue de raisins surmûris vinifiés patiemment longtemps après la fin des vendanges.
Robe grenat soutenue. Nez fin et élégant sur les fruits rouges : fraise des bois et framboise, relevé par des notes plus épicées et florales ainsi que des notes chocolatées. La bouche charnue se fond sur un grain de tanins soyeux, souligné par des fruits plus confits, des notes poivrées et de cacao.
Lilith accompagnera délicieusement l'agneau (rôti, poêlé), le veau (aux chanterelles ou en osso buco) et le canard (magret aux fruits par exemple) mais aussi le foie gras poêlé. Savoureux, il joue à merveille avec la cuisine épicée et/ou sucrée-salée (tajine, curry, porc à l'ananas, crevettes au lait de coco, lapin aux pruneaux...). Pour les desserts : fruits frais ou cuits.
Servir à 16-18°C.
Un vin rouge de charme, tout en finesse. Duo à part égale de Grenache et de Cinsault où la finesse mène la danse. Fruits pleinement mûris pour un vin ample et fondu à la bouche savoureuse. Lilith réserve de subtiles surprises que ce soit par ses notes épicées, son grain charnu ou sa fraîcheur cévenole.
Une belle teinte orange ambrée. Le nez est exubérant avec ses notes expressives de caramel, d’agrumes, de pruneaux, d’abricots secs et de mendiants. Il se caractérise par un équilibre remarquable entre sucre, alcool et vivacité. En bouche, une grande complexité aromatique qui va du pruneau aux fruits secs. Une belle longueur portée par les fameuses notes de fumé provenant de la cuisson au feu de bois.
Les chocolats, pâtisseries et confiseries sont ses compagnons de prédilection.
Né à Aix en Provence, le vin cuit fait partie de la tradition provençale. Ce vin mythique a été oublié et sa production a presque disparu. Seules quelques vieilles familles vigneronnes ont su conserver ce vin légendaire. Le vin cuit accompagne le repas de Noël en Provence. Il est bu en apéritif pour la cérémonie du « cacho-fio » ; puis sur la table des fameux « 13 desserts » avec le gibassier, les nougats, les fruits secs, les calissons…
Belle robe brillante, limpide, jaune d’or. Nez très fin et intense, ananas confits, agrumes, confiture d’orange, cannelle et crème brûlée. Finement boisée. En bouche, des arômes intenses de miel, d’amande Caramélisée, de banane sèche : une farandole de fruits secs. Boisé très fondu. Vin élégant, souple, plein de subtilité et d’intensité.
A déguster avec du foie gras de canard mi-cuit. En dessert, avec des tartes aux amandes, des marrons glacés, des nougats glacés ou des pâtisseries catalanes : rousquilles, tourons mel i mato … A l’apéritif, si vous le souhaitez.
Premier Banyuls Blanc élaboré à Collioure, il a obtenu 3 Bacchus, en 1994, 2002 et 2003 et un Silène en 1995. C’est sûrement le vin le plus emblématique du Domaine, il a été un propulseur grâce à son originalité et son élégance.
La robe est brillante, jaune dorée. Les arômes sont intenses et murs avec des notes florales (rose et jasmin), de pamplemousse et une finale plus épicée. La bouche est concentrée, ronde et veloutée. Un caractère confit donne au vin une impression plus liquoreuse.
A déguster à l'apéritif, avec des gâteaux ou tartes aux fruits, des fromages forts ou encore des cuisines exotiques....
Servir à 8-10°5
Situé dans la partie basse du Kirchberg, orienté sud-est, le clos Gaensbroennel est un véritable joyaux protégé des vents du nord. Sur une terre plus grasse, cette parcelle donne des raisins qui mûrissent parfaitement. La pourriture noble apporte presque chaque année sa contribution à la concentration des fruits. Cette cuvée est élaborée à partir de raisins triés récoltés tardivement mais non botrytisés.
Vin charnu et chaleureux avec des notes intenses de figues sèches, de pruneaux, de liqueur de myrtilles. En finale, arômes de torréfaction, de chocolat avec une pointe de cerises à l’alcool. Tanins présents mais fins. Long en bouche.
A déguster avec des desserts à base de chocolat noir, des fromages à pâte persillée ou vieux fromages de chèvre, du foie gras poêlé ou encore des magrets de canard aux figues fraîches.
C’est une cuvée plus personnelle à mi-chemin entre un rimage et un traditionnel. Ce Banyuls est une nouvelle interprétation où l’élevage prend là encore toute son importance. Il n’est élaboré que lorsque l’année s’y prête.
